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Les volcans : colères fascinantes. Tout savoir sur ce phénomène géologique

Dernière mise à jour : 6 juin 2021



Le rêve de tout passionné de nature est d'admirer de près un volcan en éruption. S'il y a environ 1.500 volcans répertoriés dans le monde en activité, seul un petit nombre, qui varie entre dix et trente, est probablement en éruption en ce moment. A ce sujet et alors A l’heure où nous vérifions les dernières infos de ce projet, l’actualité volcanique est plutôt explosive !


En ce mois de mai 2021, nous avons connu l’éruption du Nyiragongo qui menaçait Goma au Congo, nous suivons de près ce merveilleux petit volcan islandais près de Reykjavik qui ne tarit pas de lave depuis la mi-mars 2021.


Et persiste à combler les touristes. Quant au Stromboli, il vient encore de piquer une de ses jolies petites colères, plutôt inhabituelles chez ce petit volcan italien. Dont la constance n’a d’égale que la modération depuis des siècles, voire des millénaires… Ajoutons des volcans comme l'Etna, le Piton de la Fournaise, le Mérapi, etc.


Dès lors, pour assister à l'un de ces spectacles fascinants, le choix est assez grand mais dépendra de la situation géographique et de l'accessibilité du volcan, du climat et du niveau de difficulté pour l'atteindre. Sans oublier les conditions de logement dans la région qui impliqueront souvent de camper en pleine nature.


Quand la visite d'un volcan en phase éruptive est possible, l'approche du phénomène ne peut pas s'improviser et doit se faire en toute sécurité, avec l'encadrement de guides locaux, voire d'experts et/ou de scientifiques.


Et le cas échéant, avec l'accord éventuel des autorités, ce que seuls certains organisateurs, guides ou opérateurs touristiques peuvent organiser. Si des excursions ou ascensions peuvent être commandées sur place via des réceptifs locaux, des voyages tout inclus depuis la France ou l’Europe pour admirer les volcans en éruption (ou parfois simplement actifs), sont organisés par des voyagistes spécialisés (brochures ou internet). Ceci dit, même les volcans endormis, voire éteints, offrent également leurs attraits passionnants à la découverte.


Parmi les formules pour observer les volcans en éruption ou en activité, la plus pratique est de s'inscrire en toute confiance à un voyage organisé (en général en petit groupes) par un tour-opérateur spécialisé qui connaît tous les secrets de ces montagnes cracheuses de feu et qui dispose d'un savoir-faire conséquent ainsi que de l'équipement voire de l'intendance...


Le plan B (qui n'est pas spécialement moins cher) est de se débrouiller une fois sur place (en voyageant par exemple en Europe avec des compagnies lowcost, en logeant dans des hôtels ou des B&B réservés sur internet, etc.) et de s'inscrire à l'un ou l'autre programme organisé par des agences locales (Stromboli, Etna, etc.).


Si cela se pratique parfois, nous ne conseillerons jamais le "plan C" qui consiste à se lancer à l'aventure en suivant plus ou moins les accès qui mènent au spectacle et d'y improviser des visites hors des sentiers et des accueils payants, comme cela se fait parfois autour de certains volcans.


Du point de vue budget, plus le volcan est éloigné et plus la durée se doit d'être conséquente, question de profiter un peu du pays lointain visité. Car si assister à une éruption peut être la première motivation d'un voyage, le fait de visiter la région ou le pays qui l'accueille et d'en connaître un peu mieux la culture et la population est un atout très important.


Il y a souvent beaucoup de choses à faire autour d'un volcan: découvrir la nature, la végétation et les paysages, profiter d'autres phénomènes naturels, parcourir les environs sans oublier la rencontre avec les populations et leurs traditions locales, à vivre intensément.


Pour observer des volcans (qu'ils soient éteints, endormis, actifs et/ou en éruption : voir les définitions*), les plus proches et faciles d'accès se trouvent en Europe, à nos portes. Nous débutons par la fascinante Auvergne (1) avec ensuite la Sicile avec les deux stars italiennes, le Stromboli (2) et l'Etna (3).


Nous poursuivons dans les Cyclades avec le Santorin (4) puis en Islande (5) et en Europe périphérique avec les Canaries (6) et les Açores (7). Au-delà de l'Atlantique, vient l'Amérique centrale avec le Mexique (8), le Guatemala (9) et le Costa Rica (10). Ensuite, direction l'Afrique avec les volcans du rift: l'Ethiopie avec l'Erta Alé et le Dallol (11) ainsi qu'en RDC avec le Nyiragongo et le Nyamulagira (12). Un peu plus à l'ouest, dans l'Océan Indien, l'île de La Réunion offre l'un des volcans les plus actifs au monde, le Piton de la Fournaise (13). En Asie, ce sera l'Indonésie avec les volcans de Java (14) et des Moluques (15) puis au cœur du Pacifique, voici Hawaï. Et enfin, comme un bout du monde au large de la Nouvelle Calédonie… le fabuleux archipel du Vanuatu (17).

Carte du monde avec les sites présentés dans ce blog


Eteint, endormi, actif, en éruption…

Presque à l'image des êtres vivants, les volcans naissent, sont actifs et connaissent des phases éruptives puis repartent en léthargie pour parfois redevenir actifs et ainsi de suite, selon des cycles et des durées qui leur sont propres, jusqu'à s'éteindre un jour après une vie de quelques dizaines de milliers d'années, voire davantage. Pour s'y retrouver de manière simple (et simplifiée), l'état des volcans a été classifié en quatre catégories: éteint, endormi, actif et en éruption. Cette gradation est variable et les séparations entre ces différents stades ne sont pas toujours établies avec précision. Et des exceptions viennent compliquer les choses.


Un volcan peut être actif mais pas en éruption; il peut être endormi mais pas éteint; il peut être en éruption et puis redevenir au stade simplement actif jusqu'à la prochaine éruption… Et ainsi de suite, un peu comme un cycle, duquel un volcan peut sortir petit à petit et donc "s'éteindre" à tout jamais. Donc pour faire simple…

Un volcan est éteint (en anglais: extinct volcano)


quand il n'a pas présenté d'activité depuis… très longtemps (une durée variable, à savoir une dizaine de milliers d'années, voire davantage selon certains volcanologues). Cela est dû au fait que le volcan est, par exemple, coupé de toute alimentation magmatique. De nombreux volcans dans le monde sont éteints à tout jamais, d'autres sont considérés comme endormis.



Un volcan est endormi (ou en phase de sommeil) (en anglais : dormant volcano)


s'il n'est plus entré en éruption depuis plusieurs décennies, voire siècles ou millénaires. Endormi signifie qu'il peut se réveiller (parfois violement) et redevenir actif une longue période. Exemple: en 1980, le mont Sainte-Hélène (Nord-Ouest des États-Unis) qui était inactif s'est réveillé après 123 ans de sommeil, le Pinatubo était en sommeil depuis 500 ans environ avant de provoquer l'une des plus grandes éruptions du 20ème siècle en 1991.


Idem pour le mont Fuji, dont la dernière éruption remonte à 1707 et qui semble se réveiller lentement… On considère les volcans d'Auvergne comme endormis, donc susceptibles de se réveiller un jour (ce n'est pas une certitude et probablement dans quelques siècles tout au plus…)


Un volcan est actif (en anglais: active volcano)


quand sa dernière éruption est relativement récente ou qu'il présente une activité même faible (et souvent permanente), à savoir des émissions de vapeurs et autres fumerolles, voire même la présence d'un lac de lave incandescente, etc. Mais sans être en éruption, ce qui peut se produire dans un délai assez court.


Certains scientifiques considèrent qu'un volcan est actif quand il a connu une phase d'éruption les derniers 10.000 ans!




Un volcan est en éruption (en anglais: erupting volcano)


lorsqu'il libère du magma (volcans rouges) ou de grosses quantités de cendres (volcans gris) lesquelles peuvent masquer les coulées de magma. La phase d'éruption dure en général une période relativement courte, le temps que la chambre magmatique* se vide. Une éruption varie de plusieurs jours à quelques dizaines de jours voir jusqu'à trois mois.


Au cours de leur existence, certains volcans connaissent d'innombrables éruptions ou seulement quelques-unes. Ce cycle ou cette fréquence varient énormément. Par contre, d'autres volcans sont plutôt des exceptions puisqu'ils sont en éruption quasi permanente comme le Stromboli depuis deux mille ans, le petit Krakatau et le Merapi en Indonésie, le Mona Loa à Hawaï…



Visiter les volcans éteints?


De nombreux volcans éteints (ou simplement endormis) sont intéressants à juste titre. Ils offrent leurs sites parfois impressionnants à l'observation et des randonnées captivantes au cœur de la nature.


A divers stades "d'endormissement", les volcans d'Auvergne, le Santorin en Grèce, les volcans du Teide à Tenerife, de Lanzarote et de La Palma aux Canaries ou ceux des Açores sont de magnifiques témoignages d'anciennes éruptions et de captivants terrains de jeux pour les scientifiques…


En Europe, quelques musées ou centres d'interprétation très bien conçus offrent une approche instructive de la volcanologie. Epinglons le parc d'attraction Vulcania en Auvergne et déjà plus loin, le site du Parc national de Timanfaya à Lanzarote aux Canaries et encore plus loin aux Açores, le site de Capelinhos sur l'île de Horta. Hors Europe, ce sera la maison du volcan près du Piton de la Fournaise à l'île de La Réunion (voir infos fin du chapitre).


Un volcan s'est réveillé ?

Lorsqu'un volcan ensommeillé ou simplement actif débute une éruption, des tour-opérateurs organisent illico presto des voyages d'observation, partout dans le monde, avec des budgets parfois en conséquence et qui attirent les passionnés. Du fait des conditions parfois difficiles (ascensions pénibles, manque de confort, difficultés lors de déplacements, autorisations nécessaires, etc.), les participants doivent en général avoir déjà effectué un voyage avec l'un ou l'autre de ces tour-opérateurs qui exigent certaines garanties.



Indice d'Explosivité Volcanique (IEV)

L'indice IEV (ou VEI en anglais pour Volcanic Explosivity Index) évalue plusieurs paramètres: la puissance de l'éruption et le volume de matières expulsées ainsi que la hauteur du nuage de cendres. Cet indice peut varier de 0 à 8, de calme à apocalyptique en passant par de joyeuses mentions intermédiaires comme… catastrophique, cataclysmique, paroxysmique, colossal, méga-colossal et apocalyptique...

Schéma de l'IEV (Indice d'Explosivité Volcanique) avec l'altitude et le volume des cendres dégagées (en cercles grisés).

IEV description hauteur type exemple indice

0-1 calme <100 m hawaïen Kilauea 1 modéré-local < 1km strombolien Stromboli 2 explosif 1-5 km vulcanien Galeras (Colombie) 3 catastrophique 3-15 km vulcanien-plinien Montserrat 4 cataclysmique 10-25 km plinien Heyjaflallajökull 5 paroxysmique > 25 km ultra-plinien Vésuve 79, Mt Ste-Hélène 6 colossal > 35 km ultra-plinien Krakatoa, Pinatubo 7 méga-colossal > 45 km ultra-plinien (minoen) Santorin, Tambora 1815 8 apocalyptique > 60 km méga-plinien … Yellowstone Fort heureusement, les indices supérieurs à 6 sont rares, voire rarissimes. D'après les estimations, l'éruption du volcan de l'île de Santorin (Thera) en l'an -1620 équivalait à 7… Il a compromis la survie notamment de la civilisation minoenne de l'île de Crète avec un raz de marée.


Quant au Yellowstone, il terminera l'échelle à 8, avec la mention "apocalyptique!" Sa dernière éruption qui remonte à plus de 600 000 ans pourrait laisser supposer qu'il soit éteint. Mais il nous prépare le pire lors de son inéluctable réveil.


Son indice 8, maximal donc, signifiera des répercussions planétaires et de grands bouleversements sur tous les continents dont le climat à long terme avec disparitions d'espèces et bouleversements "bibliques"...

Quant aux quantités de matières émises dans l'atmosphère (téphras), pour donner une idée, elle est simplifiée dans le schéma ci-dessus par les cercles en grisé. Ces quantités évoluent de manière énorme en fonction de l'IEV, passant de 1 million de m³ pour un IEV 2 à 1 km³ pour un IEV 5 et ainsi de suite. Exemple: le Pinatubo a émis 10 km³ de matières dans l'atmosphère, le Santorin probablement 100 km³…



Types d'éruptions

Il existe différents types d'éruptions et de profils volcaniques. La littérature scientifique développe abondamment ces classifications. Mais afin de disposer facilement de cette info, voici schématisés dans ce guide les 6 types d'éruptions qui existent (auxquels s'ajoute le système islandais)

Les types d'éruptions: (1) type strombolien ; (2) type vulcanien; (3) type péléen ; (4) type plinien ; (5) type hawaïen; (6) type surtseyen; (7) type islandais (1) Type strombolien (volcan rouge) : la lave assez fluide s'écoule tandis que les matières volcaniques sont expulsées dans les airs (exemple: Stromboli) (2) Type vulcanien (volcan gris) : il n'y a aucune coulée de lave tandis que d'importants volumes de matières volcaniques sont expulsées (bombes volcaniques, lapilli, fragments)... Il se forme un grand panache de fumée qui peut monter en altitude (exemple : volcan du Sakurajima) (3) Type péléen (volcan gris) : la lave est très visqueuse (riche en silice et en vapeur d'eau) et ne s'écoule pas pour former des dômes ou des aiguilles, tandis que des nuées ardentes se produisent et dévalent les pentes (montagne Pelée, Martinique mais parfois le Vésuve, etc.) (4) Type plinien (volcan gris): la lave très visqueuse est expulsée brutalement et ne s'écoule pas. D'importantes quantités de matières volcaniques sont projetées tandis qu'un panache de cendres s'élève en altitude (exemple: éruption du Vésuve en 79, le Santorin, le Pinatubo, etc.) (5) Type hawaïen (volcan rouge): l'éruption produit des lacs de lave et des fontaines de lave de faible hauteur tandis que l'écoulement d'une lave très fluide (pauvre en silice et en vapeur d'eau) s'épanche sur de grandes distances (exemple: volcan Mona Laua) (6) Type surtseyen: éruption d'un volcan au niveau de l'eau avec choc thermique et vaporisation (exemple: île Surtsey en Islande) (7) Type islandais (éruption de fissure): bien qu'il ne s'agisse pas à proprement parler d'un type d'éruption, car il peut mélanger parfois plusieurs modèles d'éruptions différentes, ce phénomène est caractérisé par de nombreux cratères actifs avec épanchements de lave le long d'une fissure (exemple: éruption du Laki avec une centaine de cratères)

Encore quelques définitions

C'est la lave (roche en fusion) qui va déterminer la forme du volcan. Le profil des volcans varie en fonction du type d'éruptions. et certains volcans présentent des types d'éruptions et de lave parfois différents lors de leur vie. La lave peut être visqueuse ou liquide selon sa teneur en silice (SiO2). Plus elle est chargée en silice, plus elle sera visqueuse et s'écoulera très lentement, occasionnant une éruption explosive tout en édifiant un strato-volcan*.

Dans le cas où elle est fluide, elle s'écoulera facilement et rapidement, parfois loin du cratère… et engendrera une éruption effusive avec un volcan "aplati" en forme de bouclier. Ce type de volcan est formé par l'éjection de laves fluides qui s'étendent loin du cratère. La forme de ce volcan est aplatie et le diamètre de sa structure peut atteindre plusieurs kilomètres avec une pente très faible, entre 4 et 10° (volcans de Hawaï). Le stratovolcan est le volcan au profil classique en cône, dont la lave a une consistance normale. Il s'élabore par amoncellement des matières. Avec des pentes souvent très raides, ce type de volcans constitue plus de la moitié des volcans de la planète. Caldera (ou caldeira) : c'est une vaste cuvette en forme de chaudron (d'où son nom) due à l'expulsion du magma de la chambre magmatique. Dôme : un dôme est formé par l'extrusion de laves très visqueuses qui ne s'écoulent pas ou très peu vers le bas et s'accumulent en dômes (ou en aiguilles). Nuée ardente : on pourrait la comparer à une avalanche de cendres très compactes à haute température qui se déplacent à plus de 200 km/h, voire jusqu'à 500 km/h. Ces nuées sont également appelées pyroclastiques et caractérisent souvent les "volcans gris". téphras : matières (cendres, poussières, débris de roche) expédiés dans l'atmosphère lors d'une éruption


Petits conseils et matériel


La plupart des voyages proposés indiquent le niveau de difficulté et certaines ascensions s'adressent uniquement à des randonneurs confirmés du fait de l'engagement physique parfois important, avec des marches sur des terrains accidentés (boues, graviers, pentes…) et un confort parfois très succinct dans des conditions météorologiques parfois difficiles.

L'ascension d'un volcan nécessite de se munir de bonnes chaussures (à hautes tiges, il s'agit de randonnée en montagne) et de vêtements chauds. Pour ces derniers, le principe des trois couches s'applique à fond.


La première couche contre la transpiration, la seconde contre le froid et la troisième (selon la météo) contre la pluie... Pour la première, comme certaines ascensions sont parfois difficiles et font beaucoup transpirer, éviter les T-shirts en coton et préférer des T-shirts (ou chemises à longues manches) en fibres synthétiques (polyamide, polyester ou lycra) ou encore en laine mérinos et/ou prévoir des vêtements de rechange (chaleur et/ou transpiration).


Une fois arrivé en altitude, les vents peuvent être froids et il faut revêtir des vêtements secs. Prévoir également de bons coupe-vents et des vêtements imperméables, voire une polaire, des gants, une écharpe, sans oublier les lunettes solaires et de la crème de protection. Parfois, les fumées ou les cendres s'insinuent partout et salissent fortement les vêtements et risquent d'infiltrer les appareils photos et cameras.

Pour certaines ascensions ou lors de bivouacs, la lampe frontale est nécessaire. Lors de certaines ascensions qui peuvent durer des heures, il est impératif de prendre de l'eau ainsi que des aliments énergétiques. Ajoutons un sac à dos et un petit sac pour les balades à la journée à partir du camp de base.


Une tente et un duvet léger, couteau suisse, couverts, etc. Certains organisateurs prêtent du matériel adéquat si nécessaire (casque, masque, etc.) car dans certains, il est demandé de prévoir un casque de protection (vélo, chantier...), voire un masque à gaz (environ 40 euros, avec cartouches A1 B1 E1 K1).

En plus de leurs boîtier(s), objectif(s) et cartes mémoires, les photographes n'oublieront pas des pochettes de protection anti-poussière et hermétiques pour leur matériel ainsi qu'un trépied, le plus léger possible… même si l'on sait qu'un bon trépied doit être relativement lourd pour sa stabilité. Lors d'ascensions parfois pénibles, le poids est à prendre en compte. Il arrive que des porteurs soient présents (Virunga).



Boîte à outils

Sites généraux sur les volcans de la planète: www.volcansdumonde.com www.volcan-actif.com www.laterredufutur.com/volcano/ www.activolcans.info (donne les infos sur l'activités des volcans dans le monde) http://la.climatologie.free.fr/volcan/effetvolcan2.htm L'Association Volcanologique Européenne www.lave-volcans.com http://terreetvolcans.free.fr www.activolcans.info www.lave-volcans.com www.earth-of-fire.com En Anglais Site de la Smithonian Institution sur les Volcans (cartes interactives, activité, etc.) http://volcano.si.edu

Volcanoes: www.volcanoes.com www.volcanodiscovery.com www.volcanolive.com Current Volcanic Ash Advisories: (donne les risques et quantités de cendres dans l'air) www.ssd.noaa.gov/VAAC

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